Faire l’économie d’un traducteur professionnel risque d’avoir un coût pour votre société : l’impression d’amateurisme qui se dégage d’une mauvaise traduction nuit à l’image et à la crédibilité de votre entreprise, même (et surtout) si elle ne concerne que cet aspect de votre activité. Avec les fautes de style et les problèmes de syntaxe, la principale conséquence du low-cost concerne bien évidemment…
1. Les problèmes de sens
Plusieurs grands sites d’information ont, ces derniers temps, pris l’habitude de confier la traduction d’articles étrangers aux rédacteurs plutôt qu’à des professionnels. Résultat : les erreurs de sens abondent, et les faux-amis y sont plus nombreux que sur Facebook.
La trame principale d’un récit devient « l’histoire primordiale », et la phrase soldiers handcuffed the doctors (des soldats ont menotté les médecins) est traduite par « les soldats ont tranché les mains des docteurs ».
Il est essentiel que le traducteur maîtrise son sujet. Les lecteurs d’articles en ligne, et parfois dans la presse, savent que cela n’est pas toujours le cas. Si une erreur de traduction est relativement anodine dans un papier d’actualité, éphémère par définition, il n’en va bien sûr pas de même partout. Un cas d’école, parmi d’autres : une juriste de mes connaissances avait fait traduire les clauses d’un contrat commercial. En relisant la traduction, elle s’est rendu compte in extremis que l’une des clauses avait été totalement dénaturée : elle disait, en anglais, l’inverse de ce qu’elle signifiait en français ! C’est pourquoi un traducteur se doit de vous conseiller et vous signifier immédiatement les limites de son expertise.
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